Hello les amis,
Aujourd'hui j'évoque un sujet grave : le couple. La vie de couple. Toussa, quoi!
Bon, pour remettre les choses dans leur contexte, je suis obligée de dire que depuis 1 mois (depuis le 10 février 2015 très exactement), je n'allaite plus.
Et je ne suis pas enceinte.
Et je suis encore sous contraception.
Le 10 février 2015, j'ai fêté mes 5 ans - depuis le 10 février 2010 - durant lesquels j'étais soit enceinte (27 mois), soit allaitante (30 mois), soit en attente de mon retour de couche pour pouvoir ré-enchaîner un enfant, donc sans contraception (3 mois). OUI, nous avons "enchaîné" :)
5 ans.
5 ans, bordel.
Une page de ma vie se tourne.
Je suis toujours l'épouse de mon mari, toujours la mère de mes enfants.
Mais le curseur femme - épouse - mère se déplace.
Notre couple se retrouve de nouveau pour du plaisir uniquement - comme à nos débuts, où la conception d'un enfant n'était pas la finalité de nos rapports
Et en même temps, cela n'a rien à voir avec "nos débuts" : sans doute une certaine expérience, une intimité que les grossesses et les accouchements ont sublimé, une confiance renouvelée...
Certaines choses changent. Et puis d'autres sont immuables.
L'alcool et le joint, notamment - avec lesquels j'avais fait une "pause" durant 5 ans (enfin presque)
Le joint : hier, quelques taffes à une soirée.
En rentrant à la maison, du sexe sulfureux. Sans doute the best sex depuis l'accouchement d'Abricot (mon troisième).
Entrée dans le TOP 10 du best sex ever.
Et cela me ramène à d'autres nuits - je ne vais parler que de Grand Kiwi - où la consommation d'alcool aidant, j'étais ailleurs.
L’alcool, donc. Un souvenir particulièrement vivcae : Festival Au Fil du Son, Civray en 2011. C'était notre premier festival après les 17 mois de grossesse / allaitement de Pomme (ma première).
Avec en plus un petit effet "Amy Winehouse"!
(tu te souviens, Amy, elle s'est prise une OD car elle a consommé beaucoup après avoir fait un break... Eh bien quand tu ne bois pas d'alcool pendant 9 mois de grossesse et 8 mois d'allaitement... et que tu reprends, et que tu pèses 47 kilos... Il en faut peu pour faire beaucoup d'effet!)
Civray : de l'alcool, des mélanges. Et un black-out. Partiel, seulement. Et heureusement, car la nuit fut chaude. Très chaude.
Retour à ce matin. Je me réveille avec une question : pourquoi l'alcool et le joint sont - pour moi - de si bons partenaires du plaisir?
Grand Kiwi dit que j'étais "très détendue".
Ah.
Alors voilà. Je me sens définitivement passée dans cette "nouvelle ère" de ma vie.
Une ère où j'assume d'écrire que non seulement j'aime le bon vin, mais j'aime aussi l'excès.
Non seulement j'aime - en soirée, et pas trop souvent - tirer une taffe sur la cigarette d'une amie, mais quand cette cigarette est un joint, j'aime encore plus (le joint, occasionnel et festif, convival et de qualité... est mon pêché mignon)
Une ère où - dans ma vie un peu folle où tout est organisation, hyperactivité, contrôle, ambition (ok, ok, y'a aussi beaucoup de fous rires, de la musique, des amis, de chouettes collègues et surtout un mari et des enfants qui me font fondre) - il y a des moments bénis où j'ai droit de perdre le contrôle.
Paradoxalement, c'est dans ces moments de "perte de contrôle" que je construis le plus important. Le socle. La base. Mon couple. Notre couple.
Nous construisons une complicité inouïe, garante de l'équilibre de tout le reste.
Alors : l'alcool et le joint : les meilleurs partenaires du couple qui dure?
;)
Aujourd'hui j'évoque un sujet grave : le couple. La vie de couple. Toussa, quoi!
Bon, pour remettre les choses dans leur contexte, je suis obligée de dire que depuis 1 mois (depuis le 10 février 2015 très exactement), je n'allaite plus.
Et je ne suis pas enceinte.
Et je suis encore sous contraception.
Le 10 février 2015, j'ai fêté mes 5 ans - depuis le 10 février 2010 - durant lesquels j'étais soit enceinte (27 mois), soit allaitante (30 mois), soit en attente de mon retour de couche pour pouvoir ré-enchaîner un enfant, donc sans contraception (3 mois). OUI, nous avons "enchaîné" :)
5 ans.
5 ans, bordel.
Une page de ma vie se tourne.
Je suis toujours l'épouse de mon mari, toujours la mère de mes enfants.
Mais le curseur femme - épouse - mère se déplace.
Notre couple se retrouve de nouveau pour du plaisir uniquement - comme à nos débuts, où la conception d'un enfant n'était pas la finalité de nos rapports
Et en même temps, cela n'a rien à voir avec "nos débuts" : sans doute une certaine expérience, une intimité que les grossesses et les accouchements ont sublimé, une confiance renouvelée...
Certaines choses changent. Et puis d'autres sont immuables.
L'alcool et le joint, notamment - avec lesquels j'avais fait une "pause" durant 5 ans (enfin presque)
Le joint : hier, quelques taffes à une soirée.
En rentrant à la maison, du sexe sulfureux. Sans doute the best sex depuis l'accouchement d'Abricot (mon troisième).
Entrée dans le TOP 10 du best sex ever.
Et cela me ramène à d'autres nuits - je ne vais parler que de Grand Kiwi - où la consommation d'alcool aidant, j'étais ailleurs.
L’alcool, donc. Un souvenir particulièrement vivcae : Festival Au Fil du Son, Civray en 2011. C'était notre premier festival après les 17 mois de grossesse / allaitement de Pomme (ma première).
Avec en plus un petit effet "Amy Winehouse"!
(tu te souviens, Amy, elle s'est prise une OD car elle a consommé beaucoup après avoir fait un break... Eh bien quand tu ne bois pas d'alcool pendant 9 mois de grossesse et 8 mois d'allaitement... et que tu reprends, et que tu pèses 47 kilos... Il en faut peu pour faire beaucoup d'effet!)
Civray : de l'alcool, des mélanges. Et un black-out. Partiel, seulement. Et heureusement, car la nuit fut chaude. Très chaude.
Retour à ce matin. Je me réveille avec une question : pourquoi l'alcool et le joint sont - pour moi - de si bons partenaires du plaisir?
Grand Kiwi dit que j'étais "très détendue".
Ah.
Alors voilà. Je me sens définitivement passée dans cette "nouvelle ère" de ma vie.
Une ère où j'assume d'écrire que non seulement j'aime le bon vin, mais j'aime aussi l'excès.
Non seulement j'aime - en soirée, et pas trop souvent - tirer une taffe sur la cigarette d'une amie, mais quand cette cigarette est un joint, j'aime encore plus (le joint, occasionnel et festif, convival et de qualité... est mon pêché mignon)
Une ère où - dans ma vie un peu folle où tout est organisation, hyperactivité, contrôle, ambition (ok, ok, y'a aussi beaucoup de fous rires, de la musique, des amis, de chouettes collègues et surtout un mari et des enfants qui me font fondre) - il y a des moments bénis où j'ai droit de perdre le contrôle.
Paradoxalement, c'est dans ces moments de "perte de contrôle" que je construis le plus important. Le socle. La base. Mon couple. Notre couple.
Nous construisons une complicité inouïe, garante de l'équilibre de tout le reste.
Alors : l'alcool et le joint : les meilleurs partenaires du couple qui dure?
;)
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