Pour cette édition de la fête de la musique, j’ai retrouvé mon
orchestre « d’origine ». Dont le leader n’est autre que Gilles – mon
généreux guitariste de la 1ère scène !
Nous avons joué des reprises en français, en anglais, en
hébreu… et en yiddish.
Dont Liebkeit (la tendresse), dont vous
pouvez retrouver les paroles ici. Et la traduction.
Cette chanson fut reprise par Bourvil, sous le titre La
tendresse.
En français ou en yiddish, cette chanson, me touche tout
particulièrement. Elle exprime l’essentiel, à mon sens.
« On peut vivre
sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas »
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas »
Aujourd’hui, je ne suis que tendresse. Et – Grand Kiwi ne le
sait que trop en ce moment – j’ai besoin de tendresse.
Encore et encore, mon Namour.Je t’aime
Si vous aimez Liebkeit, le folklore yiddish… et Les Yeux
Noirs… Venez nous retrouve au concert de ParisNew York Odessa !
Emmené par Olivier Slabiak (Les Yeux Noirs) et sa
merveilleuse femme, Laure Slabiak (une formidable alto, avec qui nous avons partagé
des bons moments lors d’un concert en 2011), cette formation va nous emmener en
voyage!
Entre mélopées yiddish, balkaniques et musique électronique... De quoi se
trémousser en écoutant du bon son !
Cela se passe jeudi 2
juillet à partir de 20h au Pavillon Puebla (Buttes Chaumont).
PS : un grand merci à Melting Spot, avec qui nous avons fini cette merveilleuse fête de la Musique 2015! Bravo à tous les musiciens et aux bénévoles qui ont permis ce partage et cette convivialité!
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